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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Burundi : Le prix du café au producteur en chute libre Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Economie

APA, 12-06-2012

 Bujumbura (Burundi) - Le prix du café au producteur continue de chuter au Burundi au grand désespoir des caféiculteurs du pays, a appris APA, mardi auprès des intervenants de la filière. 

Pour la semaine du 11 au 26 mai derniers le prix avait été fixé à 400 Francs burundais (FBU) pour un kilo de cerise et de 1515 FBU par kilo de café washed alors qu’il était de 465FBU pour la cerise et de 1770FBU pour le washed au cours des deux dernières semaines.

Ces derniers prix avaient été augmentés car, les autres intervenants dans la filière à savoir les sociétés de dépulpage, l’Agence de régulation de la filière café (Arfic) et intercafé ont accepté d’abandonner certains frais aux caféiculteurs.

Malgré cet effort, le constat est que les prix continuent de chuter, ce qui inquiète les producteurs.

Le président de la Confédération Nationale des Associations de Caféiculteurs, CNAC, M. Joseph Ntirabampa a déclaré ce mardi à APA que les caféiculteurs ne vont pas rester les mains croisées devant une telle situation dont les raisons sont diverses.

Selon lui, la chute du prix du café à la bourse de New york n’est pas la seule raison justifiant cette dégringolade. Il convient, a-t-il dit, de mentionner le manque de transparence et d’objectivité dans le calcul du prix à octroyer au producteur ainsi que les effets de la privatisation qui leur a été imposée.

Avant la privatisation de la filière café, ce sont les caféiculteurs eux-mêmes qui vendaient leur production.

Mais, actuellement ce sont les patrons d’usines qui vendent le café acheté aux caféiculteurs, ce qui fait que les vrais prix négociés entre ces derniers et les acheteurs ne sont jamais connus, d’ après M. Ntirabampa.

Les caféiculteurs se contentent du prix officiels sur le marché international.

Il a fait savoir aussi que le caféiculteur paie également l’impôt alors qu’il devrait être payé par le vendeur, d’ après lui.

Cet impôt est de 0. 5% du prix d’un kilo vendu, ce qui est énorme au niveau global.

Le caféiculteur paie également une taxe communale et cette somme est collectionnée est versé sur le compte du FONIC, Fonds National pour le Développement Communal.

Selon Le président de la CNAC, avant la privatisation de la filière les caféiculteurs encaissaient 72% des recettes d’exportations du café, actuellement ils ne reçoivent que 65, 47%.

Les stratégies envisagées par les caféiculteurs sont, d’ après lui de continuer la construction de leurs propres usines et comme ça, ils s’occuperont eux -mêmes de leur production.

Actuellement, a-t-il dit, les caféiculteurs disposent déjà de 11 dont 10 fonctionnels. L’autre stratégie est d’approcher le gouvernement pour qu’il puisse leur vendre des usines (sur celles non encore vendues) à payer sur trois ans.

Jusqu’à présent 41 usines sur 117 ont été déjà vendues aux privés.

Une autre stratégie, qualifiée de « désespoir » sera, selon le président de la CNAC, de demander aux caféiculteurs de ne pas vendre la cerise dans les usines des privés, de traiter le café chez eux et de le vendre dans les coopératives des caféiculteurs.

Le Burundi tire 80% de ces recettes d’exportation café.

 
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