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Melchior NDADAYE, Héros de la Démocratie & Prince Louis RWAGASORE, Héros de l’Indépendance

Feu Cyriaque SABINDEMYI, premier président de l'ARIB asbl


 

Umusambi (grue couronnée)

Sites touristiques

La Source du Nil : Petite pyramide à la fois indicative et commémorative, au sommet du mont Gikizi, à 2.145 mètres d'altitude. C'est au pied de cette montagne que surgit, d'abord frêle et timide, la source la plus méridionale du Nil, découverte en 1934 par l'explorateur allemand Burckhard Waldecker.

Pyramide "Source du Nil"

 

Au sud-est du Burundi, dans la province de Rutana, commune de Mpinga-Kayove, sur  la colline de Shanga, se trouvent les chutes et la grotte de Karera. Karera est constituée de quatre chutes d’eau qui sont d’une hauteur variant entre 30 et 60 mètres.

Les chutes de Karera

 

La Faille de Nyakazu, située en province de Rutana dans le Sud-Est du Burundi. L'histoire de cette faille débute en 1914, au début de la Première Guerre mondiale, Nyakazu était un poste militaire allemand construit pour contrôler toute la partie orientale du pays. Le plateau de Nkoma sur lequel il a été édifié aurait été, dit-on, entaillé par les bottes des soldats allemands en fuite devant les forces belges.

La "Faille des Allemands"

 

La "Pierre Stanley et Livingstone" à Mugere où l'explorateur Stanley rencontra le célèbre savant Livingstone le 25 novembre 1871.

Pierre 'Stanley-Livingstone

Info pratique

Les droits de l'Homme s'invitent au sommet Etats-Unis/Afrique Convertir en PDF Version imprimable Suggérer par mail
Afrique

PANA, 04 août 2014

Des activistes demandent au Sommet Etats-Unis/Afrique de faire des droits de l'Homme une priorité

Washington DC, Etats-Unis - Des organisations et militants des droits de l'Homme invitent le président américain, Barack Obama et les dirigeants africains devant assister au Sommet de trois jours Etats-Unis/Afrique à Washington, à se pencher en priorité sur les atteintes aux droits de l'Homme et autres menaces à la liberté d'expression en Afrique.

Dans une lettre ouverte distribuée lundi à Washington DC, le groupe accuse des gouvernements africains d'utiliser des "lois draconiennes, une législation restrictive pour les médias, des chefs d'inculpation vagues, la répression contre les groupes minoritaires et dissidents, mais aussi les défenseurs des droits humains" pour freiner la liberté d'association, de parole et de mouvement dans leurs pays.

Parmi les signataires de cette lettre, figurent : Human Rights Watch, Frontline Defenders, Human Rights' Campaign, Council for Global Equality, African offices of the International Commission of Jurists and Lawyers for Human Rights, des organisations de femmes, des organisations de la société civile et des militants des droits de l'homme.

Selon eux, le thème "Investir dans la prochaine génération" signifie que le rôle de la société civile, des femmes et des jeunes doit être abordé concernant le développement de l'Afrique, mais aussi la nécessité d'implanter totalement les valeurs des droits de l'homme sur le continent.

"L'espace pour la société civile dans beaucoup de pays africains se rétrécit, de même que le respect pour les droits de l'homme".

"De nombreux gouvernements combinent les menaces directes aux lois oppressives et aux politiques étatiques pour saper le travail des médias indépendants, des défenseurs des droits de l'homme et d'autres qui cherchent à exprimer pacifiquement leurs points de vue", ont-ils dénoncé.

Ils notent que dans des pays tels que l'Angola, l'Egypte, l'Ethiopie, le Mozambique, le Soudan, le Swaziland et l'Ouganda, "la réponse aux manifestations pacifiques a été l'usage excessif de la force par les forces de sécurité de l'Etat".

D'autres nations comme le Burundi, le Zimbabwe, la Gambie et l'Afrique du Sud ont imposé des lois restrictives pour les médias ou bâillonné les organisations de médias indépendants, tandis que l'Egypte a récemment emprisonné trois journalistes d'Al-Jazeera.

"Pour démontrer leur engagement à assurer la sécurité et le développement, les leaders et autres participants au sommet doivent publiquement condamner les atteintes aux droits de l'homme en Afrique et exhorter les dirigeants africains à s'engager à respecter la liberté d'expression, d'association, de manifester pacifiquement ainsi que les droits humains fondamentaux", ont-ils insisté.

Ils ont également appelé les leaders à prendre des mesures visant à éliminer la discrimination généralisée à l'égard des femmes en Afrique, qui freine leur pleine participation à la vie publique, et invité les leaders à s'efforcer également de promouvoir et renforcer l'égalité entre les sexes dans leurs pays respectifs.

"Ce sommet doit s'assurer qu'un cadre des droits de l'homme est conçu, de sorte qu'il y ait la transparence et la responsabilité de rendre des comptes, afin de faciliter la bonne gouvernance et de garantir les valeurs démocratiques", ont-ils ajouté.

Bien qu'une session soit consacrée à la gouvernance lors de ce sommet, les militants estiment que le calendrier n'accorde pas assez d'attention aux questions des droits de l'homme et de la démocratisation.

Pour Adam Shapiro, activiste des droits de l'homme basé aux Etats-Unis, également membre de Frontline Defenders, on devrait offrir aux organisations de défense des droits humains l'occasion de participer pleinement aux discussions sur les questions de sécurité et de bonne gouvernance.

"Nous sommes critiques à l'égard de certains dirigeants invités à ce sommet, parce qu'ils ont été accusés de différentes atteintes aux droits de l'homme dans leurs pays", a-t-il fait savoir.

Toutefois, le secrétaire d'Etat-adjoint aux Affaires africaines, Mme Linda Thomas-Greenfield, a expliqué que les organisateurs du sommet avaient décidé de mettre les activistes dans un programme séparé parce que "le sommet actuel est un sommet entre leaders, et nous voulons avoir des discussions franches avec ces leaders sur les questions que la société civile a posé sur la table".

Le gouvernement américain avait précédemment annoncé qu'il n'avait pas invité les présidents d'Erythrée, du Zimbabwe, du Soudan et de la République centrafricaines en raison de leurs bilans en matière de violations des droits de l'homme.

 
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